Ronan le Mao, en charge de nombreux clients historiques d’Azimut, notamment des réseaux et fédérations, fait état d’un bilan positif de ces trente années de bons et loyaux services au sein d’Azimut, entreprise spécialisée dans le numérique qui a commencé son activité… dans la télématique !

Issu d’une formation en histoire de l’art et arts plastiques, c’est à l’occasion d’une reconversion professionnelle que Ronan entame une formation « concepteur d’écrans vidéo texte » au GRETA de Rennes, et répond à l’annonce d’Azimut dirigée par Jean-Marie Corteville. Il exercera en parallèle pendant des années la fonction de correspondant local de presse pour le quotidien régional Ouest France.

Il assiste à l’évolution du secteur informatique et à l’agrandissement de l’équipe d’Azimut dont le siège naviguera de Lorient (centre Lorientis, puis Quai des Indes en centre-ville) à Vannes, puis à Larmor-Plage à partir de 2005.

Il y exercera successivement les fonctions d’infographiste, de chef de projet, de rédacteur, de commercial, de formateur et plus récemment de DPO (Délégué à la Protection des données personnelles), dans le cadre du RGPD mis en place en mai 2018 pour préserver la confidentialité des données. Le fait d’avoir occupé ces différents postes est d’après lui un atout pour prendre du recul, adopter une vision globale, et comprendre les contraintes de chacun de ces métiers.

Mais ce qu’il aime avant tout, c’est la flexibilité et la solidarité des membres de l’équipe d’Azimut, capables de sortir de leur domaine de compétences pour « donner un coup de main aux petits camarades ».

C’est ce même élan qui fait l’ADN du Défi Azimut, course de voile organisée chaque année au mois de septembre. Ronan se souvient avoir « fait des trucs fous », comme louer un hélicoptère dont on avait perdu une porte, se lever à cinq heures du matin pour distribuer des sandwichs sur les pontons, ou rencontrer des champions qui font le tour du monde et gagnent des transats !

Parmi les clients qu’il a suivis, Ronan compte de nombreux réseaux nationaux, que ce soit la filière bois, la fédération des Comités d’Entreprises comme CEZAM, ou des associations à dimension sociale comme les Blouses Roses, Voir Ensemble ou encore l’UFOLEP… Il y avait au départ un fort besoin de structurer ces organisations complexes. Il a fallu faire preuve d’empathie, acquérir une solide connaissance de ce qu’étaient les métiers de leurs acteurs pour les aider à se coordonner, et à mettre en place des outils collaboratifs. Il garde un excellent souvenir de tous les liens créés à cette occasion.

Fier du chemin parcouru, Ronan part sans nostalgie, confiant dans la relève, et heureux de profiter de son nouveau statut de grand-père !