Les CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) de France assurent des missions de service public pour mettre en œuvre les politiques de la sécurité sociale. À ce titre, elles doivent utiliser des canaux de communication efficaces pour tisser des liens avec les usagers. Il existe 102 caisses en France et 830 points d’accueils, répartis dans tous les départements pour offrir un service de proximité. Ces points d’accueil accompagnent les usagers dès leur arrivée grâce à une chaîne d’information numérique conçue par Azimut.

Dans un esprit de modernisation et pour fluidifier l’accueil, La CPAM du Finistère a investi dans une solution d’affichage dynamique. François Scour, responsable du secteur accueil physique, référent MSAP France services, est pleinement satisfait de cet outil qu’il entend étendre à d’autres points d’accueil.

« Nous avons d’abord équipé deux lieux d’accueil à Brest, dont notre siège, puis Quimper et avons pour objectif de déployer un autre site prochainement. A la base, nous avions des tableaux d’affichage papier ; le suivi était difficile et parfois l’information obsolète. Le but était de faire vivre l’affichage, et d’être vu de l’assuré grâce à des écrans animés qui interpellent l’œil ».

Le pari est gagné avec un outil aussi simple qu’efficace selon Mr Scour. « Nous sommes vraiment satisfaits de l’Aziplayer qui est facile d’utilisation et intuitif. Cela nous permet d’afficher du contenu, de le modifier et de l’alimenter dès qu’il y a une actualité. Fermeture exceptionnelle ou encore campagnes d’information : la chaîne d’information numérique est la solution idéale pour rester à jour, et valoriser l’aspect professionnel de la structure ».

Lorsque l’on demande à M. Scour en quoi cette solution numérique a amélioré le quotidien de la CPAM et de ses bénéficiaires, les exemples fusent !

·         « Nous apprécions qu’Aziplayer soit multi-sites, nous pouvons ainsi donner des informations communes instantanément dans plusieurs bureaux.

·          Notre intérêt s’est porté sur l’aspect multi-support qui a permis par exemple sur la période d’urgence sanitaire de diffuser autre chose que des textes de prévention, comme des vidéos expliquant les gestes barrière en langage des signes. 

·          Nous avons remarqué que l’attention des assurés était vraiment tournée vers les écrans, notamment avant l’ouverture, ou entre deux rendez-vous, ce qui permet de casser cette notion d’attente

·         Nos administrés ont accès à des informations complémentaires (espace santé, campagnes de préventions…) auxquelles ils n’auraient naturellement prêté attention. »