Ta mission chez Azimut, comment la décrirais-tu en trois mots ?
Développement, forcément ! Mais aussi création, parce que l’on part souvent de zéro, d’une idée client à construire donc on a cette notion de créativité, qu’elle soit fonctionnelle ou visuelle. Et enfin ingénierie, car certains développements nécessitent parfois un niveau de réflexion plus poussé.
Sur quels types de projets interviens-tu principalement aujourd’hui ?
C’est assez large, car je travaille sur plusieurs projets clients à la fois. Je suis intervenu sur un projet de mise à jour de notre application billetterie, sur laquelle j’ai réalisé la partie visuelle (le front), principalement. Mais je suis également intervenu sur le lecteur de carte et sur d’autres éléments en parallèle. Je travaille de manière ponctuelle sur plusieurs projets clients, par exemple pour l’UFOLEP ou pour CEZAM.
Actuellement, nous travaillons en équipe sur la refonte complète d’un site web et ses outils associés, dans le domaine de la gestion de voyages pour les comités d’entreprises.
Y en a-t-il un qui t’a particulièrement enthousiasmé récemment ?
La mise à jour de l’application de billetterie a été vraiment stimulante ! C’est une technologie que je n’avais pas encore appréhendée. Jusqu’ici dans mon parcours, je travaillais essentiellement dans le domaine du web, sans éléments « physiques » ; là, le fait de travailler avec des éléments matériels comme les bornes est très nouveau pour moi. J’aime énormément apprendre au quotidien, développer mes compétences donc ce projet d’équipe m’a beaucoup plu !
Quelles compétences sont, selon toi, essentielles pour exercer un rôle de développeur dans une équipe comme celle d’Azimut ?
Réflexion, prise de recul et... un défaut qui est une qualité : le perfectionnisme, la volonté de faire « toujours parfait » ou en tout cas chercher à s’améliorer constamment. À connaître les langages qu’on utilise au quotidien, ne pas hésiter à découvrir de plus en plus de nouveaux langages, si c’est nécessaire pour les projets. La concentration est également vraiment indispensable. Et si l’on veut parler avec des mots un peu « techniques », je dirais aussi de l’algorithmie : c’est-à-dire être capable de poser une solution sur une problématique donnée. En développement, le client va exprimer son besoin, et nous allons rédiger en français toutes les étapes, les use case, etc. et toute cette rédaction qui va fixer la ligne de conduite du projet.
Comment collabores-tu avec les autres pôles de l’entreprise dans ton travail quotidien ?
Cela dépend vraiment des projets, sur certains je ne vais pas avoir de collaboration extérieure car ce sera purement logiciel. Mais d’autres projets en revanche vont être transverses, et je vais interagir avec l’équipe borne par exemple. Ce fut le cas pour le projet « billetterie », je n’ai pas hésité à aller voir ma collègue Viviana pour lui poser mes questions. J’ai une facilité à aller vers les gens et chez Azimut, les collaborateurs sont très accessibles.
Qu’est-ce qui te motive le plus dans ton rôle aujourd’hui ?
J’étais sur des missions différentes sur mes expériences précédentes, donc j’avais à cœur de reprendre le développement. Et m’imaginer dans le futur, avec de nouvelles compétences et davantage de responsabilités peut-être.
Pourquoi Azimut ?
Au moment de mes recherches d’emploi, plusieurs entreprises m’intéressaient au niveau des projets. Mais j’avais passé trois ans chez moi, une en télétravail et deux en tant qu’entrepreneur, donc j’avais à cœur de retrouver une équipe ! Le télétravail, c’est bien sur quelques jours, mais à temps plein cela n’est pas la même chose en termes de liens humains ou de communication. J’avais besoin de retrouver ce contact au quotidien et la bonne humeur de l’équipe Azimut m’a tout de suite plu !